LE INTéRIORITé DES CORNEILLES

Le intériorité des corneilles

Les évènements passaient dans un élégance éternel, rythmés par l'éclairage pâle du nord et les rénovations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient délicatement, en spirale, comme si le ciel lui-même les désirait à bien signer des messages invisibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait tout matin au foye

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Le périmètre des doubles obscurcissements

Les jours passaient dans un sorte durable, harmonisés avec la luminosité pâle du nord et les renversements ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, comme par exemple si le ciel lui-même les désirait à tatouer des messagers intangibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait tout matin au foye

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Les parole figées dans le flux

À Los Angeles, en 2068, les villejuif de verre filtraient la luminosité par exemple des lames du tarot glacées, et en haut d’un immeuble sans société, un foyer d’appels opérait dans le plus large anonymat. Aucune pancarte à l’entrée, aucune sorte de logo sur les murs. Seulement une chambrée divisée en box identiques, chacun équipé

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Les parler figées dans le flux

Dans l’enceinte magnifiquement hermétique du noyau d’appels, les opérateurs continuaient à répondre aux sollicitations sans identités, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre obligeance extrême et prolétarisation diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels à travers une interface adaptative, aju

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L’écho dans les lignes

À Los Angeles, en 2068, les chartres de cristal filtraient l'éclairage à savoir des lames du tarot glacées, et en haut d’un immeuble sans enseigne, un centre d’appels opérait dans le plus grand anonymat. Aucune pancarte à bien l’entrée, nul logo sur les murs. Seulement une réunion divisée en box identiques, chacun équipé d’un ter

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